La Fondation AÏDARA CHERIF plus que jamais engagée dans le développement de l’agriculture biologique au Sénégal

Produire une alimentation de meilleure qualité pour tous en entretenant un sol vivant et l’équilibre de la nature (faune, flore et eau), tels sont les enjeux de l’agriculture biologique.

La Fondation peut compter sur l’aide de deux jeunes agronomes, Messieurs Mohamed Sy, professeur d’agronomie à l’université de Ziguinchor et Omar Bâ, ingénieur, expert en engrais biologique.

Ce sont eux qui transmettent sur le terrain les techniques de culture permettant d’éviter les produits phytosanitaires dangereux pour la santé des hommes et de la terre.

Par la mise en place de ces actions, la FAC souhaite inciter les jeunes, malheureusement trop souvent candidats au départ vers l’Europe, à se tourner plutôt vers la terre, leur terre, car, m’inspirant des paroles du grand chef amérindien, Sitting Bull, je dirai « lorsqu’[en Europe], le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson pêché » alors tout le monde, en Afrique, se rendra compte que l’agriculture, à condition d’être aidée, n’est pas un métier du passé mais, au contraire, une valeur sûre que notre continent doit promouvoir pour le futur afin que l’Afrique devienne un jour prochain, le grenier du monde.

Chérif Yancouba AÏDARA

Président-fondateur de la FAC

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2023 – Soulager par les mots et les actes

2 mai 2023

Dans un contexte social de plus en plus difficile pour les populations partout dans le monde, avec des difficultés à se nourrir, se loger et, dans les pays du nord, se chauffer, il est bon de rappeler que nous avons tous le pouvoir de soulager au moins une personne de notre entourage en lui apportant de l’aide, du réconfort et de l’espoir.

Et si, inversement, chacun d’entre nous sait qu’il existe quelqu’un quelque part vers qui se tourner en cas de nécessité alors la vie devient naturellement plus légère.

La solidarité, l’esprit de partage ne règlent pas l’appauvrissement programmé des peuples mais ils soulagent les individus, ils allègent leur fardeau et leur permettent de continuer d’avancer.

Au fond, ce n’est pas l’état du monde qui est préoccupant mais celui des êtres humains qui l’habitent.

Ceux qui pourraient aisément partager, ne sachant tout simplement plus vraiment quoi faire de leurs amoncellements de biens, ne le font pas, et cette idée ne les effleure même pas.

Et pourtant, leur contribution, une bagatelle pour eux en termes de finances, mais qui nécessiterait une noblesse morale devenue, hélas, au fil du temps une valeur complètement surannée, en particulier chez ceux qui sont en haut de l’échelle sociale, permettrait à des millions de gens de ne pas sombrer dans la pauvreté.

Depuis sa création, en 1998, la Fondation AÏDARA Chérif, a tenté de créer une chaîne de solidarité pérenne. Malheureusement, nous n’avons pas pu éradiquer la pauvreté, selon l’objectif ambitieux (et sans doute un peu naïf, mais nous étions jeunes) que nous nous étions fixé, mais à tout le moins l’avons-nous soulagée.

Soulager, c’est d’abord dire à l’Autre : Je vous écoute, je vous comprends. Vous n’êtes pas seul.

C’est une manière d’atténuer la colère et le ressentiment et de rétablir un peu de paix en chacun et, par suite, dans la société.

Lorsque des millions de citoyens crient ensemble leur exaspération alors cela devient une absolue nécessité d’éteindre le feu avant que celui-ci ne détruise la société tout entière, de la même manière que le père/la mère de famille n’a d’autre choix, s’il/elle veut préserver l’unité familiale, que d’entendre l’expression des dépits et des rancœurs de certains de ses enfants.

Les êtres humains sont en train de perdre leur aptitude à éprouver de la sympathie, de la compassion, de l’amour pour autrui. Au mieux indifférents au malheur d’autrui, ils deviennent parfois méchants, haineux même, se réjouissant du malheur de leurs semblables- les chômeurs sont des fainéants, les SDF l’ont bien cherché, les réfugiés, les persécutés, les migrants en quête d’une vie meilleure peuvent bien se noyer pourvu qu’ils ne viennent pas manger notre pain (omettant par ailleurs de penser que ceux-ci peuvent, le cas échéant, être eux-mêmes boulangers),etc.

Et puis, il y a ceux dont la tâche est normalement de soulager les populations, d’alléger les charges qui pèsent sur elles, d’œuvrer pour rendre leurs vies meilleures et qui, au contraire, ne cessent de souffler sur les braises, d’attiser l’exécration et de mener de véritables entreprises de destruction tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des frontières en fomentant des guerres dont on sait par avance que celui qui gagnera aura de toute façon perdu. Un seul mégot de cigarette suffit à détruire des milliers d’hectares. De même, un mot, une action, peuvent, en engendrant de la violence et de l’hostilité, détruire en peu de temps un pays entier.

Lorsque les cerveaux des humains fonctionnent au ralenti, comme c’est le cas en ce moment, lorsque les fardeaux sont trop lourds à porter et que les gouvernants continuent de répandre le désespoir alors c’est la porte ouverte à la violence incontrôlable, voire à la barbarie.

Personne ne peut être heureux seul dans son coin. De même, aucune nation ne peut ruiner les autres impunément. Individuellement ou collectivement, tôt ou tard, il faudra passer à la caisse. On ne peut pas construire durablement sur les humiliations, l’anéantissement provoqué et les défaites infligées aux autres – individus, peuples, gouvernements.

Combien de chefs d’État, impitoyables au faîte de leur grandeur, finissent leur vie diminués, malades, parfois sans conscience d’eux-mêmes et de ce qu’ils furent.

Soulager, alléger le fardeau, réconforter c’est redonner de l’espoir.

Ne pensons jamais qu’il n’y a plus d’espoir.

***

Chérif Yancouba AÏDARA

Président-fondateur de la Fondation AÏDARA Chérif

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Visite de la terre de Diaroumé

21 juin 2022.

La Fondation AÏDARA CHERIF (Union pour l’éradication de la pauvreté en Afrique) accueille à Ndiama dans l’arrondissement de Diaroumé le Gouverneur de la Région de Sédhiou accompagné des Membres de la Délégation de la Commission Régionale de Conservation des Sols

Le 17 juin 2022, l’équipe de la Fondation AÏDARA CHERIF (Union pour l’éradication de la pauvreté en Afrique) a accueilli sur le terrain de Ndiama à Diaroumé le Gouverneur de la Région de Sédhiou ainsi que les membres de la Délégation de la Commission Régionale de Conservation des Sols.

Il s’agissait pour les représentants de l’État de s’assurer de visu de la bonne marche du projet agricole de la Fondation, notamment en matière de respect des règles environnementales.

Le Gouverneur et les experts des Services de l’Administration ont été parfaitement rassurés par l’ingénieur agronome de la Fondation, Monsieur Hady Diallo, lui-même expert en agroécologie, puisque la Fondation s’est engagée, dès la conception du projet, à cultiver exclusivement selon les principes de l’agriculture biologique, c’est-à-dire en bannissant tout usage de produits chimiques dangereux pour l’homme et la nature.

Dorénavant, les autorités se tiennent prêtes à œuvrer de concert avec la Fondation pour la réussite du projet.

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Voeux 2022 : la foi et l’espoir !

9 janvier 2022.

La tradition veut qu’on se souhaite le meilleur pour l’année qui vient.

Mais aujourd’hui lhumanité est plongée dans une si grande tourmente que son sort est plus que jamais dans la main de Dieu.

En effet, les êtres humains du monde entier font, avec une intensité inédite pour nombre d’entre eux, à la foisl’épreuve de la maladie, de la peur de la maladie causée par un virus inconnu, de la mort qu’elle entraîne parfois et de décisions attentatoires à leurs droits fondamentaux. Cela fait beaucoup sur une période aussi brève.

Ce quesouhaitent des millions d’individus, c’est, en premier lieu, une orientation nouvelle, enfin éclairée, concernant les décisions qui, pour l’heure,affectentleurs viessouventde manière désastreuse. Car à force d’incohérence, voire d’absurdité ou pire, de malveillance, des populations entières, partout dans le monde,finissent par ne plus rien comprendre et par sombrer, pour certains, dans le désespoir.

La souffrance est palpable. Pour beaucoup, plus d’emplois, plus d’argent, plus de logement, plus de fêtes, de danse, de sport, de joie collective, de plaisir de vivre.

Bientôt nous raconterons comme une légendeaux enfants émerveillés comment était la vie « avant », la joie d’être ensemble, de se parler sans masque, les grandes tablées familiales sans crainte d’être contaminé ou de contaminer, sans peur d’aucune sorte. Simplement, la joie, le plaisir de se rencontrer, la vie.

Et nous-mêmes, ne commence-t-on pas déjà à l’oublier un peu ?

C’est le moment, il me semble, de se tourner vers Dieu et de prier car Seul Il connaît la fin et peut nous montrer la voie. Il n’y a plus guèred’alternative.

Aucun être humain ne connaît précisément nila suite ni la fin de cet épisode douloureux de notre histoire commune,et, paradoxalement, tout particulièrement ceux qui prétendent guider les peuples et font voter des lois. En réalité, ils ne savent pas ce qu’ils font.

Quelles que soient nos croyances, nous devons prier pour une libération de l’humanité et de la terre. Demandons tous ensemble le retour à la vie.

Dieu ne nous a pas oubliés.

Quand on a perdu tout espoir, que l’on regarde à droite et qu’il n’y a personne en vue, à gauche, personne non plus, que l’on comprend à ce moment-là qu’aucun être humain ne connaît le moyen de nous sortir de ce marasme, malgré les affirmations péremptoires de certains, alors il nous reste Dieu, le Tout Connaissant qui, Lui, connaît la méthode qui sauvera le monde entier et peut la souffler à des savants honnêtes, comme il le fit par le passé pour Fleming et la pénicilline, Lister et l’antisepsie et bien d’autres qui permirent, par leurs découvertes, de sauver des vies. Autrefois, les savants étaient inspirés. Aujourd’hui, on multiplie les doses (de quoi?) mais sait-on combien d’injections à la suite un être humain peut supporter ?

Prions pour que les médecins soient éclairés de nouveau comme le furent, il est vrai il y a fort longtemps, Galien, Hippocrate, Avicenne, Paracelse, qui avaient, eux, l’amour de la connaissance et la vocation de soigner.

Nous avons besoin d’un souffle nouveau, bienveillant, pour éradiquer les fléaux et aller vers une vie nouvelle empreinte de fraternité, de concorde et de partage.

Quand tout semble perdu, nous avons Dieu.

Je pense à tous ceux qui ne sont plus de ce monde, aux malades dans les hôpitaux, à ceux qui ont tout perdu et, plus largement, à tous ceux qui ont souffert et souffrent encore, d’une manière ou d’une autre, de ce désastre mondial.

Que Dieu nous vienne en aide et éclaire l’humanité jusqu’à ce qu’elle trouve la voie pour se préserver.

L’espoir, c’est la vie, c’est l’autre nom de Dieu.

Demain est un autre jour pour l’humanité.

Soyez assurés que toutes mes prières vous accompagneront en 2022.

Chérif Yancouba AÏDARA

Président-fondateur de la Fondation AÏDARA Chérif

Union pour l’éradication de la pauvreté en Afrique

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Dire la vérité et garder confiance

29 avril 2021

Dire la vérité

Même si la vérité est parfois difficile à dire, c’est la condition nécessaire pour une vie en commun apaisée. On ne peut pas dire les choses dans l’intention de tromper sans qu’il y ait des conséquences néfastes sur la vie ensemble et sur soi-même. Celui qui ne croit pas lui-même ce qu’il dit aux autres cause d’énormes dégâts.

De même qu’il est plus difficile d’arracher à la terre un arbre centenaire qu’un arbuste, le mensonge profondément enraciné devient difficile à extirper.

Plus on retarde le moment de rapporter les faits tels qu’ils sont, conformes à la réalité, plus la vérité sera explosive et touchera un grand nombre de personnes.

Lorsque la vérité a été volontairement enfouie des années durant et qu’elle est devenue aussi lointaine que les racines abyssales d’un arbre séculaire, son émergence soudaine provoque des crises désastreuses et irréversibles. Les tromperies finalement révélées provoquent toujours la colère des trompés.

Alors que le mensonge appelle le mensonge en exigeant des arrangements de plus en plus complexes et de plus en plus éloignés de la réalité si bien que le menteur finit par s’y perdre se retrouvant de plus en plus seul, la vérité attire la vérité, apaise la conscience et permet de vivre en harmonie avec les autres.

Même s’il est difficile de dire spontanément la vérité, chacun a pu en faire l’expérience dans sa vie : dire la vérité libère et permet de regagner la confiance des autres «  Il m’a dit la vérité, je peux donc lui pardonner ».

Cependant, le plus souvent, une fois que l’on est bien installé dans le mensonge, on y reste. Comme le lait qui caille et finit par se transformer en un nouveau produit, le mensonge attirant sans fin le mensonge dégénère en conflit, violence, voire meurtre, et, parfois, à l’échelle des nations, en guerre. S’autoriser à mentir empêche toute relation humaine digne de ce nom, tout contrat social, il n’y a plus alors de vie collective possible car la confiance entre les interlocuteurs est définitivement anéantie.

Le mensonge est l’avilissement et comme l’anéantissement de la dignité humaine (…) le menteur est moins un homme véritable que l’apparence trompeuse d’un homme. Le déshonneur (qui consiste à devenir un objet de mépris moral) suit le mensonge, et accompagne le menteur comme son ombre. E.Kant , De la vertu, 1855

Garder confiance

Nous vivons des temps difficiles. Les êtres humains subissent les affres des maladies physiques et psychiques, des pertes d’emplois, des faillites d’entreprises, des ruptures amoureuses et familiales. Ils ont le cœur serré et n’aperçoivent plus la lumière. Pourtant, il y aura une fin à tout ce qui arrive en ce moment.Un événement négatif, destructeur et dirimant est nécessairement suivi par une période de joie, de bonheur et d’exaltation. Toute guerre, fût-elle de Cent Ans, se termine par la signature d’un traité de paix. Les beaux jours reviennent toujours.

Il est difficile d’entrevoir la lueur au loin lorsqu’on est dans le désespoir. C’est pourquoi il est essentiel de garder la foi.

Il faut attirer la joie et le bonheur vers soi et repousser la tristesse le plus loin possible. La joie est communicative, lorsqu’elle grandit dans les cœurs des uns, elle se diffuse dans les cœurs des autres et finit par rayonner partout et pour tous.

C’est donc collectivement, en étant rassemblés que nous combattrons le mieux la tristesse, c’est en restant unis que nous attirerons la joie et le le bonheur vers nous.

A ceux qui ont beaucoup perdu durant cette période, je sais que la Nature Infinie leur restituera quelque chose d’heureux.

Et c’est l’esprit de partage comme valeur fondamentale qui permettra de rebâtir des sociétés où il n’y aura plus de perdants mais où nous serons tous des gagnants au sein de la patrie humaine.

Les mots ont un pouvoir, celui de nous unir. Cependant, ils pleurent souvent d’être gâchés, c’est le cas dans trois situations : lorsqu’on les prononce au mauvais moment et que, de ce fait, ils créent des conflits. Dans le deuxième cas, les mots auraient pu sauver une situation mais ils n’ont pas été prononcés. Enfin, dans le troisième cas, c’était le bon moment, les mots ont effectivement été prononcés mais de manière incorrecte. Lorsque la parole est émise, prononcée à point nommé et juste alors les interlocuteurs comprennent le message et peuvent cheminer à l’unisson. Il faut bannir des conversations, en ce moment plus que jamais, des phrases du genre « On ne va jamais s’en sortir ».

Soyons des millions à affirmer que l’on retrouvera la lumière ensemble dans un temps très proche. Gardons la foi, toujours.

***

Chérif Yancouba AÏDARA,, Président-fondateur de la Fondation Aïdara Chérif (Union pour l’éradication de la pauvreté en Afrique)

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Vœux 2021 : la renaissance !

05 janvier 2021.

L’année 2021 marquera une renaissance dans le monde entier.

L’un des grands principes de l’histoire de l’humanité est qu’après une période douloureuse viennent toujours des temps heureux.

C’est souvent au moment où les hommes semblent avoir perdu tout espoir et ne croient plus en rien que la Nature infinie choisit de se manifester, de les surprendre et de les éclairer.

Le plus grand danger de ce virus était finalement qu’il parvienne à nous éloigner les uns des autres. Or, paradoxalement, ce virus tant redouté a permis aux individus, malgré les injonctions à se séparer, de se rassembler, au moins virtuellement, et de se coaliser, même si tous, durant cette période, ne poursuivaient pas les mêmes objectifs.

Ceux qui ont été les plus touchés n’ont jamais été seuls. Ils ont été constamment soutenus par ceux qui, étant protégés naturellement, ont pu ainsi continuer à se battre aux côtés des premiers.

Ce virus disparaîtra comme il est venu.

Les nations et les hommes n’ont pas réussi à s’accorder sur la manière de le combattre, mais, au moins, tous se sont entendus sur le fait qu’il fallait l’éradiquer.

Chaque État, chaque individu doit pouvoir trouver la solution qui convient à son peuple, à soi-même, ce qui importe étant de pouvoir se soigner librement selon ses traditions, sa culture et ses croyances. Les solutions existent partout et sont à portée de main.

La nature même des êtres humains est leur sociabilité. Leur destination naturelle est d’agir ensemble, encore faut-il que ce soit unanimement pour la quête d’un bonheur commun. C’est ce désir d’être heureux ensemble qui différencie les sociétés humaines des troupeaux d’animaux. Et la liberté contient la plupart du temps la possibilité du bonheur.

Cette étrange période a eu le mérite de nous rappeler combien la liberté est précieuse. On vit tranquille aussi dans les cachots ; en est-ce assez pour s’y trouver bien1 ? On se rend compte que sans bonheur et sans liberté, l’existence se limite aux fonctions organiques et n’a alors que peu d’intérêt.

Voilà pourquoi nous devons sans cesse nous battre pour plus d’amour, de paix, de joie de vivre, de liberté.

Embrasser ses grands-parents, ses enfants est une joie à laquelle nous ne devons pas renoncer, eussions-nous de nombreux obstacles à franchir. La liberté est un combat. Elle n’est jamais donnée. Elle se conquiert.

La fin dernière [de l’État] n’est pas la domination ; ce n’est pas pour tenir l’homme par la crainte […] la fin de l’État n’est pas de faire passer les hommes de la condition d’êtres raisonnables à celle de bêtes brutes ou d’automates, mais au contraire il est institué pour que leur âme et leur corps s’acquittent en sûreté de toutes leurs fonctions, pour qu’eux-mêmes usent d’une Raison libre, pour qu’ils ne luttent point de haine, de colère ou de ruse, pour qu’ils se supportent sans malveillance les uns les autres. La fin de l’État est donc en réalité la liberté.[…]

1Rousseau, Du Contrat Social (1762) , Livre I, Chap. IV.

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Foundation Aidara Cherif in english

vendredi 27 juillet 2012 – 14 juillet 2024

In ENGLISH

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Fondazione Aidara Cherif – traduzione Italiano

Fondazione Aïdara Cherif – Traduzione italiano – (google)

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Faire un don à la Fondation Aïdara Cherif

samedi 28 juillet 2012 – 14 juillet 2024

La Fondation Aïdara Cherif a toujours besoin d’aide, qu’elle soit sous forme de dons en argent ou de quelque autre nature, conseils, prêts, don de matériel scolaire ou autre, formation etc.

Dons :

Si vous souhaitez faire un don à la Fondation Aïdara Cherif – Union pour l’éradication de la pauvreté en Afrique, voici le compte de la Fondation Aïdara Cherif.

BSIC – Senegal-SA

Titulaire du compte : FONDATION AIDARA CHERIF –

Agence : République
18, Boulevard de la république – Dakar
Code banque : SN111 – Code guichet : 01001 – Compte numéro : 050714500019 – Clé RIB : 83 – Swift : BSAHNDA

Vous pouvez écrire ou téléphoner à la Fondation Aïdara Cherif :

Siège social : rue 8 x 23. Medina. DAKAR-SENEGAL
Code postal : 6707 Dakar – BP 3525
Téléphone : 00 (221) 33 82 31 603
Tel / Fax : 00 (221) 33 82 32 369
Email : secretaire@(enlever cette parenthèse)fondationaidaracherif.org

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Adresse et Contacts de la Fondation Aidara Cherif

dimanche 29 juillet 2012 – 14 juillet 2024

Siège social : rue 8 x 23. Medina. DAKAR-SENEGAL
Code postal : 6707 Dakar – BP 3525
Téléphone : 00 (221) 33 82 31 603
Tel / Fax : 00 (221) 33 82 32 369
Email : secretaire@(enlever cette parenthèse)fondationaidaracherif.org

Mobile de l’administrateur, Boubacar Samaké (langue française):

00 (221) 776 17 38 38

Mobile de l’administrateur-adjoint, Dr. Samsidine Diao (langue arabe):

00(221) 765 83 10 24

Adresses Email de la Fondation Aïdara Cherif :

Administrateur :
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Administrateur adoint :
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Secrétaire :
secretaire@(enlever cette parenthèse)fondationaidaracherif.org

Dons :

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BSIC – Senegal-SA
Agence République
18, Boulevard de la république – Dakar
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