Journée de prières inter religieuses pour le retour de la paix en Casamance

Archive – article du dimanche 10 juin 2012.

Le guide religieux et opérateur économique Chérif Yancouba Aïdara organise, samedi prochain, au quartier de Néma 2 de Ziguinchor, une journée de prières interreligieuses en faveur de la paix en Casamance.

Poursuivre la tradition séculaire chérifienne qui consiste à offrir à tous ceux qui ont la lourde charge de conduire la destinée de leur peuple le soutien spirituel nécessaire à la réussite de leur entreprise, en particulier, celle d’instaurer la paix et le bonheur et de repousser la violence et la mort, tel est le credo de la Fondation «Aïdara Chérif-Union pour l’éradication de la pauvreté en Afrique» que dirige Chérif Yancouba Aïdara. Et c’est dans cette optique qu’une journée de prières est prévue samedi prochain dans la capitale du Sud du Sénégal, pour un retour définitif de la paix en Casamance.

«Effectivement, nous convions toutes les populations à cette journée pour que s’enracine, dans notre pays, une paix durable, en Casamance surtout, mais également dans tous les pays du continent africain actuellement en proie à la violence et dans le monde où existent encore des foyers de tensions», a dit Chérif Yancouba Aïdara, qui nous a rendu visite au «Soleil».

Selon ce membre co-fondateur de la Fondation (il l’est avec son frère Vieux Aïdara qui y occupe le poste de secrétaire général), cette journée a pour objectif de réunir des musulmans et des laïcs «qui pensent que la paix définitive est possible, et que la voie de la réconciliation, du dialogue et de la négociation est indéniablement la meilleure voie de salut pour notre pays, le Sénégal, pour l’Afrique et pour le monde», a ajouté Chérif Yancouba Aïdara.

Cette journée de prières débutera samedi matin par une séance de lecture du saint-Coran, de la Bible et de la Sainte Torah, suivie de prières pour la paix et de différentes allocutions.

Par ailleurs, Chérif Yancouba Aïdara s’est dit très confiant de voir la paix revenir en Casamance. «J’en suis convaincu car je me réjouis d’entendre le président Macky Sall dire que sa première priorité est d’asseoir la paix en Casamance. Cette volonté nous réconforte, nous motive et guide notre action que nous entendons pérenniser car cette journée sera célébrée annuellement. Selon le guide religieux, la Fondation dispose de cellules dans certains pays de la sous-région comme «en Gambie, en Guinée-Bissau, au Mali, en Guinée Conakry et en Mauritanie».

D’autre part, souligne le marabout, la fondation ne se limite pas seulement à la journée de prières. «Car, dans sa lutte contre le sous- emploi, la fondation entend appuyer les femmes afin qu’elles puissent investir le microcrédit, le commerce, l’agriculture, entre autres activités génératrices de revenus.

Pour les jeunes, elle compte créer des centres de formation tandis que certains étudiants bénéficieront de bourses scolaires. Les enfants de la rue aussi ne seront pas en reste, car nous imaginons des créneaux porteurs en leur faveur». Revenant sur la journée de prières du 19 mai prochain, Chérif Yancouba révèle que chaque région aura son programme.
Le marabout a saisi l’occasion de notre entretien pour formuler des prières nourries à l’endroit du président Macky Sall «pour qu’il réussisse sa mission».

Source de l’article : Le soleil online – http://www.lesoleil.sn/index.php?option=com_content&view=article&id=15263:journee-de-prieres-inter-religieuses-pour-le-retour-de-la-paix-en-casamance&catid=59:house-design&Itemid=108

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Appel du président-fondateur de la Fondation AÏDARA CHERIF Chérif Yancouba AÏDARA, pour un renouveau économique social et culturel en Casamance…

Archive – article du samedi 9 juin 2012.

Appel du président-fondateur de la Fondation AÏDARA CHERIF (Union pour l’éradication de la pauvreté en Afrique), Chérif Yancouba AÏDARA, pour un renouveau économique, social et culturel en Casamance et pour l’instauration d’un espace écologique africain.

Je tiens d’abord à remercier tous ceux qui se sont déplacés de toute la Casamance, et des autres régions du Sénégal, pour ce grand rassemblement pour la paix qui a eu lieu à Ziguinchor le 19 mai dernier. Je remercie en particulier la jeunesse casamançaise emplie de rêves et d’espérance, et que, pour cette raison, nous avons le devoir d’aider à entreprendre et à réussir dans cette région qui est la leur et qui recèle tant de richesses et de potentialités. La souffrance de la Casamance, qui est peut-être une sorte de parangon de celle de notre continent tout entier, doit cesser.

Le moment est venu de sortir notre région de cette aporie meurtrière où, durant de trop longues années de guerre, des générations entières de Casamançais, sans emploi et sans perspective d’en trouver un, ont été décimées, qu’il s’agisse des adultes ou des jeunes, n’ayant jamais eu, leur vie durant, l’opportunité de connaître l’expérience du monde du travail.
Comment une région pourrait-elle sortir indemne d’un tel traumatisme ? C’est pourquoi, dans le dessein d’envoyer un signal fort à cette jeunesse qui a la volonté d’entreprendre et une soif inextinguible de réussir, il faut faire du développement économique, social et culturel de la Casamance, non une simple intention, mais une réalité tangible.

La pauvreté, ferment de la violence et de la haine destructrice.

La pauvreté étant le ferment de la violence et de de la haine destructrice, seul le développement des richesses que recèlent la terre et le peuple casamançais, dans l’esprit de solidarité et de partage, qui caractérisent l’âme de notre région, favorisera l’unité et la paix sociale. Je suis, pour ma part, convaincu que la Casamance est une opportunité de développement pour notre pays tout entier et l’Union pour l’éradication de la pauvreté en Afrique est prête à prendre part à cette revitalisation d’une région dans laquelle elle combat depuis quinze ans, anonymement et en totale autonomie financière, l’état d’abandon, voire de mépris, dans lequel est plongée une grande partie de la population casamançaise.

La Fondation a d’ores et déjà recueilli de multiples avis favorables en évoquant, auprès d’un grand nombre de villageois, un projet d’envergure d’implantation d’éco-villages, lesquels auraient le double avantage d’engager la région sur la voie du développement durable tout en permettant à des milliers de villageois de se nourrir, de se loger, de se soigner, de se former et d’éduquer leurs enfants.

Par la suite, nous comptons étendre ce programme aux quatorze autres régions du Sénégal. Nous souhaitons, de cette façon, valoriser les potentialités régionales tout en y préservant les ressources pour les générations futures, notamment par l’utilisation des énergies renouvelables et par la mise en œuvre d’une agroécologie, seule garante de la pérennité de nos terres cultivables.

Notre but est que chaque Casamançais, où qu’il vive, puisse le plus rapidement possible bénéficier, dans son quotidien, d’améliorations concrètes. Par ailleurs, parce que la Casamance dispose de prodigieuses potentialités de développement et de créativité et que toute la population, après deux décennies de guerre fratricide, est en attente d’un prompt rétablissement du mieux-vivre, et qu’en outre, la jeunesse casamançaise est prête à travailler tout de suite, nous proposons que soit instaurée une zone franche qui inciterait les entreprises à s’installer en Casamance, créant ainsi des milliers d’emplois.

Afin que cette initiative bénéficie réellement aux Casamançais et, de manière à ne pas léser le tissu économique existant, si ténu soit-il, la Fondation propose que toute entreprise désirant s’installer en Casamance le fasse nécessairement en partenariat avec une entreprise casamançaise. Dans le but de préparer cette initiative, tous les jeunes casamançais en recherche d’emplois doivent bénéficier dès maintenant d’un accompagnement et d’une formation professionnelle pour répondre aux besoins des nouvelles entreprises.

Les derniers événements politiques dans notre pays nous ont rappelé que, lorsqu’une société tourne le dos à sa jeunesse, elle est fatalement condamnée au déclin.

Nous ne pouvons pas continuer à regarder passivement à la télévision les images de nos jeunes qui, dans l’espoir de trouver, sur un autre continent, une vie décente qu’ils n’ont pas dans leur région, finissent, au mieux, comme de vulgaires repris de justice dans les geôles d’une vieille Europe qui commence elle-même à péricliter et, au pire, dans les eaux d’un quelconque océan sans que, parfois, malheureusement, aucun secours ne daigne venir les y sauver.

Aujourd’hui, créer des emplois en Casamance, et dans toutes les autres régions de notre pays, c’est sauver des vies. Enfin, parce qu’il est urgent de prendre conscience de nos responsabilités envers la nature, patrimoine commun dont nous ne sommes que les dépositaires et que, pour cette raison, nous devons préserver, je propose que se tienne à Dakar le 15 décembre 2012 une rencontre internationale de toutes les organisations non gouvernementales africaines engagées dans le développement durable.

Il s’agit d’élaborer un espace écologique africain, sorte de répertoire d’actions concrètes, (dans les domaines de l’habitat écologique, de l’agriculture biologique, des énergies renouvelables, de la lutte contre la déforestation, du recyclage des déchets, de la mise en œuvre de programmes scolaires de sensibilisation aux grandes problématiques environnementales, etc.) dont l’objectif est de sauvegarder les ressources environnementales africaines.

Lors de cette rencontre, chaque association présentera un programme environnemental, en projet ou en cours de réalisation, adapté aux problématiques de sa région. Une liste commune de doléances relatives au domaine de la préservation de l’environnement sera établie et adressée à tous les gouvernements. Il est nécessaire que les ONG unissent leurs efforts pour coordonner leur lutte pour la préservation des ressources naturelles africaines en élaborant une stratégie de développement durable fondée, notamment, sur une coopération concrète avec les États.

Nos régions ne peuvent plus accepter de voir sacrifier l’environnement et la qualité de la vie au profit d’intérêts économiques à court terme, souvent étrangers, reportant sur les générations futures la charge des réparations et le fardeau des nuisances qui pèsent toujours plus lourdement sur les plus pauvres d’entre nous, car, rappelons-nous l’avertissement prophétique des amérindiens qui, malheureusement, ne furent pas en mesure de résister à la logique européenne du profit :

« Quand le dernier arbre aura été abattu, quand la dernière rivière aura été empoisonnée, quand le dernier poisson aura été pêché, alors on saura que l’argent ne se mange pas ».

Les gouverneurs, les préfets, les présidents des conseils régionaux, parce que ce sont des femmes et des hommes de terrain et qu’ils vivent au plus près des populations, aussi bien en Casamance que dans les autres régions du Sénégal, peuvent assurer la gestion des ressources naturelles en partenariat avec les associations non gouvernementales. Nous sommes ensemble, citoyens, associations, État, responsables de la destinée de notre pays.

Aussi, je forme des vœux pour que la Casamance se réunisse et se rassemble afin de permettre de laisser libre cours à l’imagination des esprits novateurs, de tous ceux qui préfèrent bâtir plutôt que détruire, en relevant le défi du développement de la richesse de ce joyau qu’est notre Casamance, et pour qu’un jour prochain, elle devienne un exemple pour toutes les autres régions du Sénégal et des autres pays d’Afrique.

C’est à une vision du développement, dans le respect de la nature, de la qualité de la vie, et au bénéfice des hommes d’aujourd’hui et des générations futures, que j’aspire, et vers laquelle je souhaite qu’ensemble, nous nous tournions.

Chérif Yancouba AÏDARA Président-Fondateur de la Fondation AÏDARA CHERIF Union pour l’éradication de la pauvreté en Afrique

Lien vers le quotidien le messager : http://www.wmaker.net/lemessagersn/

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Les buts de la Fondation Aïdara Cherif

Archive – article du mardi 27 février 2007

Union pour l’éradication de la pauvreté en Afrique.

Créateurs de la Fondation Aïdara Cherif, à droite, Cherif Yancouba Aïdara, président de la fondation et Cherif Vieux Aïdara, secrétaire général de la fondation Aïdara Cherif.

La fondation Aïdara Cherif a pour buts :

de développer la formation et le développement territorial en Afrique, dans les DOM-TOM et en Europe ; assistance médicale et technique ; soulager en Afrique, dans le monde rural, suburbain et urbain, les populations éprouvées par la faim, la malnutrition, la maladie, les calamités naturelles, l’analphabétisme, l’ignorance, le chomage, la détérioration de l’environnement et toutes les souffrances nées de la guerre.

Siège social : rue 8 x 23. Medina. DAKAR-SENEGAL
Code postal : 6707 Dakar – BP 3525
Téléphone
: 00 (221) 33 82 31 603
Tel / Fax : 00 (221) 33 82 32 369
Email : secretaire@(enlever_cette_parenthèse)fondationaidaracherif.org

Mobile de l’administrateur, Boubacar Samaké (langue française):
00 (221) 776 17 38 38
Mobile de l’administrateur-adjoint
, Dr. Samsidine Diao (langue arabe):
00(221) 765 83 10 24

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Présentation de l’administration de la Fondation Aïdara Cherif

Archive – article du mardi 27 février 2007.

Administateur : Boubacar Samaké. (ancien) Administrateur : Sidy Mohamed Diagne

Mamadou Sow Diagne : Conseiller technique de la Fondation Aïdara Cherif en compagnie de ses assistants.

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Réunion de la fondation Aïdara Cherif : Projets 2007.

Archive – article du mardi 27 février 2007.

Cette réunion avait pour objet d’étudier les dossiers de demande d’aides en provenance d’Afrique.

Objectifs prioritaires :

  • 1- Réparation des bateaux de pêcheurs du village de Cayar, Senegal : Moteurs, filets, coques des barques.
  • 2 – Aide aux femme des villes de Dakar et Ziguinchor, Senegal et de Ingore, Guinee Bissau : Microcrédit qui permettra de lancer une activité commerciale.
  • 3 – Aide aux paysans de Casamance, Senegal et de Guinee Bissau : Achat de tracteurs, motopompes, motoculteurs.
  • 4 – Agrandissement et construction d’écoles à Dakar, en Casamance, Ingore, Farim et Bissau en Guinee Bissau.
  • 5 – Achat d’autobus scolaires.
  • 6 – Aide à la formation des jeunes (métiers du bâtiment)
  • 7 – Aide à la rénovation des maisons de Dakar, de Casamance, de Guinee Bissau, et Gambie.
  • 8 – Soins médicaux à Dakar, Casamance, Guinee Bissau, Gambie. La Fondation aimerait construire des dispensaires dans ces régions. (Problèmes de diabète et de tension, glaucome, cataractes…)
  • 9 – Soutien alimentaire, distribution de vêtements, fourniture scolaire à Dakar, Casamance, Guinee Bissau, Gambie.
  • 10 – Aide au retour des jeunes dans leur villages. On a des cas de jeunes qui se retrouvent bloqués à Dakar, Sénégal et n’ont plus les moyens de retourner dans leur village d’origine.
  • 11- Achat de matériel sportif afin d’occuper les jeunes des villes, les détourner de la délinquance et de la drogue.

Nous avons besoin d’aides diverses. Toutes les bonnes volontés sont bienvenues. Le président, le secrétaire général et ses assistants.

Siège social : rue 8 x 23. Medina. DAKAR-SENEGAL Code postal : 6707 Dakar – BP 3525 Téléphone : 00 (221) 33 82 31 603 Tel / Fax : 00 (221) 33 82 32 369

Nous avons écrit à L’IRED. Innovations et réseaux pour le développement. Voici le texte des objectifs de la Fondation Aïdara Cherif sur le site de l’IRED.

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Déplacement du président et du secrétaire général de la Fondation Aïdara Cherif en Guadeloupe.

Archive – article du samedi 24 février 2007.

Le déplacement en Guadeloupe avait pour objectif de rencontrer les partenaires et les collaborateurs antillais de la Fondation Aïdara Cherif. Différents projets de développement notamment dans le domaine agricole, et dans le domaine technique ont étés abordés : mécanique auto, bateau, maintenance de matériel divers et formation de jeunes à des technologies de pointe.

Les pays concernés (Sénégal, Gambie, Guinée Bissau, Mali, Mauritanie et Guinée Conakry) ont besoin d’instructeurs, d’ingénieurs agronomes, de mécaniciens, de spécialistes capables de former toute une jeunesse. Ce combat pour la formation de la jeunesse en Afrique est vital.

La Fondation Aïdara Cherif s’est tournée vers ses collaborateurs des DOM TOM pour importer diverses compétences techniques de pointe en Afrique. Les échanges avec les associations antillaises qui souhaitent s’impliquer pour le développement en Afrique ont été fructueux.
Pour réaliser ces déplacements de spécialistes formateurs, la Fondation Aïdara Cherif a besoin de soutiens financiers afin que les formateurs spécialisés restent le plus longtemps possible en Afrique.

En plus du besoin de formateurs dans différents domaines techniques de pointe, le domaine sportif a été abordé. La jeunesse africaine a un énorme potentiel. Beaucoup de champions sont originaires d’Afrique mais les moyens manquent pour ouvrir des centres sportifs qui permettraient de détecter les talents. La fondation a réflechi au problème du manque d’installations, de cadres et de matériel et souhaiterait encourager des avancées dans ce secteur qui est source d’épanouissement pour la jeunesse.

Le développement de l’Afrique dans ces différents domaines permettrait à la jeunesse africaine de rester chez elle au lieu de prendre des risques dans l’ aventure du rêve européen et américain… qui souvent se solde par un voyage sans retour.

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Groupe de jeunes de Dakar venant remercier le président de la Fondation Aïdara Cherif et son secrétaire général.

Archive – article du samedi 24 février 2007.

Ce groupe de jeunes de Dakar est venu remercier le président de la Fondation, Cherif Aïdara Yancouba et son secrétaire général Cherif Vieux Aïdara. La Fondation Aïdara Cherif a payé la formation de ces jeunes et leur a permis d’accéder aux métiers du bâtiment (maçons, carreleurs, peintres, chaudronniers). Ces jeunes ont un métier assuré, ils peuvent désormais aider leurs familles et vivre décemment. Le président renouvelle ses demandes de partenariat à tous ceux qui voudront aider la Fondation Aïdara Cherif à continuer ses activités de formation et de développement qui permettent aux jeunes de rester au Sénégal et de ne pas risquer leur vie pour aller en Europe.

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Réalisation d’une école et projet d’aide aux agriculteurs de Ingore (Guinee Bissau)

Archive – article du vendredi 23 février 2007.

Les agriculteurs de la ville de Ingore en Guinée Bissau se sont adressés à la Fondation pour demander du matériel agricole (tracteurs, moto-pompes, groupes électrogènes) destinés en priorité à l l’irrigation et aux labours. De plus, Ingore est productrice de noix de cajou et a besoin d’acheteurs pour écouler sa production. La Fondation est la recherche de partenaires pour créer des structures de décorticage de noix de cajou et pour aider les agriculteurs de la région à vendre leurs produits agricoles.

Le président de la fondation Aïdara Cherif, le secrétaire général et son groupe est allé sur place pour visiter l’école construite grâce aux dons de la Fondation. Cette école a maintenant besoin d’être agrandi en raison de l’affluence d’élèves. La demande en constructions d’écoles est énorme et la Fondation ne peut pas tout prendre en charge. Toute aide pour la constructions de nouvelles écoles serait la bienvenue.

Une structure de microcrédit est souhaitée pour permettre aux femmes de la région de démarrer des petites activités commerciales.

La Fondation Aïdara Cherif distribue une aide alimentaire et fournit des vêtements à Ingore depuis des années. La priorité de la Fondation est à court terme que cette ville de Guinée Bissau devienne auto-suffisante. Les tracteurs et motopompes sont donc indispensables à la réalisation de l’autonomie de Ingore.

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Réunion d’information avec les jeunes de Guinée Bissau à Farim.

Archive – article du mercredi 21 février 2007

Cette réunion avait pour objectif de donner des solutions aux jeunes qui veulent quitter l’Afrique pour l’Europe, les Etats-Unis ou les pays du Golfe.

La fondation Aïdara Cherif donne des solutions à ces jeunes afin qu’ils restent dans leur ville d’origine et parviennent à gagner leur vie. En particulier, la Fondation propose de trouver des financements pour développer différents projets concernant tous types d’activités : l’agriculture, la pêche, le commerce, la teinturerie pour les textiles, la construction d’ouvrages et de batiments, la menuiserie, la plomberie, l’électricité, la peinture, la mécanique et différents projets, etc.

Toutes les personnes, organismes privés et publics sont les bienvenus pour aider à réaliser le rêve de ces jeunes qui souhaitent rester chez eux à la condition d’avoir un travail en poche au lieu de risquer leur vie dans des aventures hasardeuses, telles que vues à la télévision récemment.

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Projet d’aide de la Fondation Aïdara Cherif aux pêcheurs de Cayar Sénégal.

Archive – article du 21 février 2007

Les pêcheurs du village de Kayar ont demandé à la fondation Aïdara Cherif une aide pour le renouvellement de leur matériel de pêche, la réparation des barques et des moteurs, des filets, ce qui leur permettra de pratiquer leur métier avec davantage de sécurité. La fondation Aïdara Cherif recherche des partenaires du privé, du public, associations, particuliers pour aider ce village à maintenir son activité. Les pêcheurs ont également besoin d’une fabrique de glace qui aidera à la conservation du poisson.

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